A - B - C - D - E - F - G - H - I - J - K - L - M - N - O - P - Q - R - S - T - U - V - W - X - Y - Z

- A -

Aléatoire : En escalade, qualifie un "pas" dont l'issue est incertaine (risque de chute).

Ancrage : Élément métallique fixé dans le rocher ou une structure permettant de protéger le grimpeur ou de constituer un amarrage (Scellement, spit, piton, plaquette, goujon ...).

Arquer : Forme de préhension permettant de valoriser une prise de type "réglette" voire un "plat" sur lesquel il faut réaliser un blocage ... Le pouce vient se refermer sur la dernière phalande de l'index pour exercer une pression renforçant la tenue de prise. Attention ! Les contraintes appliquées aux doigts sont extrêmes faisant subir à l'index en particulier, une hyper extension à l'origine de possibles blessures importantes.

Asymétrique : Forme spécifique donnée aux chaussons d'escalade dont le profil augmente la pronation du pied voire sa cambrure (profil rentrant vers l'intérieur du pied et plus ou moins plongeant en fonction du modèle considéré). Cette forme permet de concentrer sur le gros orteil, l'ensemble des forces exercées au moment d'un appui et de gagner en précision. Par leur forme atypique et l'inconfort qu'ils procurent, ces chaussons sont d'abord destinés à des grimpeurs expérimentés qui peuvent en tirer le meilleur parti.

"Avale" : Expression utilisée pour indiquer à l'assureur de reprendre le mou de la corde.

- B -

Baudrier : Harnais utilisé en escalade pour encorder le grimpeur et assurer sa sécurité.

"Bourrin" / "Bourriner" : Grimper en force ; entraîne des postures inesthétiques et peu économiques pour l'organisme.

"Bouse" : Définit une voie inesthétique, sans intérêt particulier.

"Bouteilles" : Avoir les "bouteilles" signifie avoir les avant-bras durs, chargés d'acide lactique. S'ensuit rapidement une tétanie des muscles provoquant des douleurs à l'effort... les mains s'ouvrent seules, la poursuite de l'effort devient impossible.

Brouter : Désigne une matière rocheuse agressive pour la peau. À l'extrême, le grimpeur peut être ponctuellement dans l'impossibilité de grimper tant la sensibilité de ses doigts augmente. 

"But" : Prendre un "but" signifie échouer dans une voie ou une course (longue).

- C -

C.A.F. : Club Alpin Français ; existe depuis 1874. Depuis 2004, Fédération Française de Clubs Alpins et de Montagne (F.F.C.A.M.). Site ici

Casque : S'ajoute à la panoplie du grimpeur afin de le protéger de chocs potentiels pouvant se produire au cours d'une chute ou à la suite d'une projection de pierre(s). Le port du casque en sites naturels est vivement recommandé ; il est obligatoire pour les personnes "mineures".

Chaîne d'assurage : C'est la "chaîne" complète entre l'assureur et le grimpeur ; ensemble constitué par l'assureur, le baudrier de l'assureur, le mousqueton à vis, le système d'assurage (bloquant ou non bloquant), la corde dynamique, le baudrier du grimpeur, le grimpeur. Remarque importante : "L'Homme est le maillon faible de la chaîne d'assurage !"

Chute : En escalade sportive, les évolutions des matériels, en particulier des cordes "dynamiques" (c'est-à-dire présentant une qualité d'élasticité) permettent aujourd'hui de rendre la chute acceptable. Ce phénomène justifie en partie, l'ouverture de l'échelle de cotation (cf. définition de "cotation").

"Clipper" : Désigne l'action de mettre la corde dans le mousqueton de la dégaine.

Continuité : Capacité à grimper longtemps avec des phases d'efforts intenses entrecoupées de points de repos ou de semi-repos (en moyenne 70 mouvements, durée d'effort supérieure à 3 minutes).

Coordination : Qualité à rechercher par le grimpeur afin de permettre l'expression de ses autres qualités telles la force, l'explosivité, qui sans une bonne coordination de ses chaînes musculaires (bras, dos, abdominaux, jambes) ne peuvent être efficaces à elles seules.

Cotation : Les cotations (en France) utilisent un chiffre marquant le dré de difficulté, auquel est accolé une lettre (a,b ou c) et parfois un signe "+". Ce système est dit "ouvert", c'est-à-dire qu'il peut être étendu à "l'infini", si des voies plus difficiles que toutes celles existantes sont ouvertes. Actuellement, les niveaux extrêmes d'escalade atteignent le 9a+ voire 9b (Chris Sharma, Jumbo Love, voie de 80 m de long et déversante à 40 ° en moyenne ; cette voie sportive est située à Clark Mountain, Californie, USA). Il lui a fallut pas moins de 100 essais avant de parvenir à l'enchaîner en 2008. On parle alors d'escalade "mutante".

Les débutants progressent généralement dans le degré 4. Sans un pratique régulière de l'escalade, il peut être difficile de franchir une difficulté cotée 6a.

Notre système de cotation est l'héritier du système "Welzenbach", du nom de son auteur Willy Welzenbach, qui le proposa dès 1924. Il s'agissait d'un système dit "fermé", comportant 6 degrés notés en chiffres romains et suivis simplement du signe "+" ou "-". L'évolution du niveau de performance des grimpeurs (entraînement) et des matériels (technologie des matériaux) fît apparaître à partir des années 70, la nécessité d'ouvrir l'échelle de cotation. Le premier 7a fût réalisé en 1970, les premiers 8a dans les années 80, en France. Nous devons le premier 9a à Wolfgang Gûllich escaladant la célèbre voie "Action directe". Ce dernier est également l'un des initiateurs de l'entraînement "systématisé" nous ayant légué en héritage le non moins célèbre "Pan Güllich" (Cf. définition). Notons que la cotation est subjective.

"Croûte" : Très petite prise voire micro-prise autorisant difficilement la préhension ; l'adhérence y est souvent l'un des moyens les plus appropriés afin de la valoriser. Synonyme : "gratton".

- D -

Dégaine : Ensemble constitué d'une sangle textile et de deux mousquetons. La dégaine est l'un des éléments constituants de la chaîne d'assurage participant à la protection du grimpeur au cours de son ascension. Le grimpeur veille en l'installant le sens de pose (fonction de la ligne décrite par les points d'ancrage fixés dans la voie considérée) et le sens de mousquetonnage.

Dynamiser : Action de l'assureur permettant d'améliorer la réception du grimpeur au cours de sa chute (syn : "vol", "plomb" ...). Par cette action, il ajoute à l'amortissement du vol en absorbant une partie du choc par un mouvement d'accompagnement vers l'avant ; ce mouvement dynamique venant s'ajouter à l'élasticité de la corde (dynamique par ses caractéristiques techniques), le grimpeur ne ressent pas ou peu de choc ... Attention ! Assurer en "dynamique" nécessite un apprentissage pour être maîtriser !

- E -

Engagement : Faculté à lancer un ou plusieurs mouvements en vue de réaliser un passage d'escalade en ayant préalablement identifié l'incertitude de l'issue ; il y a possibilité de chute. Cependant, la notion d'engagement est à bien différencier de la notion de danger ! En cela qu'elle n'implique pas de caractère grave ni irréversible induit par le milieu. La chaîne d'assurage ("hommes" et matériels) doit participer en tout point à la sécurité du grimpeur.

Équilibre : L'équilibre est une condition fondamentale à l'efficience du grimpeur en escalade. Il correspond principalement aux phases destinées en escalade à la recherche de positions de moindre efforts (récupération, mousquetonnage, lecture, anticipation du mouvement...). La liste des formes de placement n'est pas exhaustive et il serait vain de vouloir la définir précisémment car  pour une configuration donnée, le choix de placement est établi par chacun en fonction de ses caractéristiques personnelles : morphologie, capacités physiques et physiologiques, préférences. Le célèbre alpiniste Gaston Rebuffat disait : "Prends conscience de ton équilibre et tu grimperas bien !"

- F -

F.F.M.E. : Fédération Française de Montagne et d'Escalade. Elle a vu le jour le 5 août 1987, née de l'union de la F.F.M. (Fédération Française de la Montagne, créée en 1942) et de la F.F.E. (Fédération Française de l'Escalade, créée en 1985). Site ici

"Flash" : Grimper en "flash" signifie pour un grimpeur qu'il aborde une voie après avoir vu un autre grimpeur la réaliser avant lui (possibilité de décrypter les méthodes pour passer).


Force : La force est la capacité pour un grimpeur à fournir des efforts courts voire très courts mais intenses (en moyenne 5 à 10 mouvements, durée d'effort 3 à 20 secondes).

- G -

"Gri-Gri" : Le plus connu des systèmes d'assurage appartenant à la famille des dispositifs à "freinage assisté" ; il est conçu pour faciliter les manoeuvres d'assurage. Il en existe de nombreux autres. D'une manière générale, ces dispositifs n'excluent pas le respect de la méthode d'assurage en "5 temps" adaptée aux matériels dénués de moyens d'assistance.

"Gratton" : Cf. définition de "Croûte".

- H -

"Huit" : Le plus connu des systèmes d'assurage appartenant à la famille des dispositifs non bloquants. Il tire son nom de sa forme évidente en "8". Outre le nom donné au système d'assurage, "Huit" est également le nom donné au nœud d'encordement utilisé par le grimpeur dont la forme s'associe naturellement au chiffre.

- I -


 

- J -

 "Jump" / "Jumper" : Signifie littéralement "Saut", "Jeter", les deux pieds quittent alors leur(s) appui(s) et la paroi, la réception sur la (les) prise(s) doit être très précise. L'issue d'un tel mouvement présente toujours une part d'incertitude. Ce type de mouvement ne s'improvise pas sans un entraînement préalable car il soumet le corps à de fortes contraintes à la réception (particulièrement les membres supérieurs).

- K -

 

- L -

Lecture : La lecture en escalade est la faculté de comprendre les mouvements d'une voie avant d'y grimper. L'objectif d'une bonne lecture de voie est de conserver l'énergie nécessaire à sa réalisation complète, son enchaînement, sans commettre de fautes de placements.

"Lover" : Ranger la corde en l'enroulant sur elle-même. Facilite son transport, son stockage et favorise sa conservation.

- M -

Majeur(e) : Permet de qualifier un passage ou une voie exceptionnelle.

Mémorisation : Faculté à se souvenir des mouvements lus.

"Moulinette" : Expression utilisée par le grimpeur pour désigner une forme d'escalade permettant de supprimer tout ou partie de l'engagement nécessaire à une escalade "en tête" (cf. définition). Ce type de "grimpe" est plus rassurant car la corde est déjà installée au "relais" ; le grimpeur n'a donc jamais à dépasser un point d'ancrage au cours de son ascension. Le grimpeur l'utilise généralement pour travailler une voie d'un degré supérieur à son niveau maximum actuel. C'est également une forme s'adressant aux grands débutants.

"Mono" : Abréviation de "Monodoigt". Forme de prise permettant une préhension à un doigt.

"Morpho": Abréviation de "Morphologique". Indique un enchaînement de mouvements, un passage d'escalade favorisant certaines morphologies de grimpeurs plutôt que d'autres. Les grimpeurs de grande ou petite taille peuvent être avantagés ou défavorisés en fonction des cas.

Mur : Paroie verticale de hauteur variable que le grimpeur escalade en se protégeant de la chute durant son ascension à l'aide d'une corde dite "dynamique". Dans le vocabulaire des grimpeurs, il s'agit également d'une forme d'escalade dite de "difficulté".

Mutant (e) : Désigne un "grimpeur" ou une "grimpeuse" d'un niveau exceptionnel.

- N -

Noeud : Il existe différentes familles de noeuds. En escalade, les noeuds utilisés sont empruntés à trois grandes familles en particulier. Aussi, utilise-t-on couramment les noeuds dits "d'attache" tel le "noeud de huit" pour l'encordement sûr du grimpeur, les noeuds "d'ajut" ou "d'arrêt" pour relier des cordages entre-eux ou sécuriser un autre noeud (v. "noeud de pêcheur double"), les noeuds "bloquants" tels le "noeud français", le "noeud de machard", le noeud de "prussik"... permettant de sécuriser une descente en rappel, ... Cf. Fiches techniques des noeuds.

- O -

"Ouistiti" : Nom donné à un baudrier intégral constitué de sangles réglables (cuisses et torse). Il est destiné aux très jeunes enfants (limite de poids). Par sa conception, il réduit le risque de retournement.

Ouvrir/Ouverture : Se dit de l'action de créer une voie. Sur surface artificielle, cela consiste à disposer les prises pour obliger des enchaînements de mouvements correspondant à un niveau de difficulté visé et à les fixer par vissage. Notons qu'il convient de distinguer "l'ouvreur" de "l'équipeur" qui pour sa part, exerce ses talents sur sites naturels.

- P -

Pan : Escalade pratiquée à hauteur faible, sans encordement, dont l'objectif est de réaliser des passages plus ou moins difficiles appelés "blocs".

Pan Güllich : Inventé par Wolfgang Güllich, il s'agit d'une plaque à préhensions en forme de "réglettes" plus ou moins épaisses, disposées verticalement et destinée à un entraînement spécifique orienté "Force" mais pas seulement... ne pas abuser de ce type de travail réservé à des grimpeurs "experts" car il présente des risques pour la santé des doigts !...

"Pas" : Vocable utilisé par le grimpeur pour désigner au sens du mouvement à exécuter, tantôt un passage difficile, tantôt un passage esthétique. À cette fin, il lui adjoint des adjectifs qualificatifs tels, "délicat", "dur", "joli" ... la liste n'est pas exhaustive ...

"Plat" : Prise ne présentant aucune forme précise pour favoriser la préhension. Son aspect est "plat" d'où son "nom" ; la main se pose le plus souvent "tendue" pour renforcer la capacité d'adhérence sur sa surface. Parfois, une préhension en "arqué" est possible, réalisée à la faveur d'un blocage permettant d'atteindre une prise éloignée ou effectuer une relance "explosive".

"Plomb" : Synonyme de chute en escalade.

P.M.E. : Position de Moindre Effort ; associée à la notion de précision, elle doit être nécessairement complétée par la capacité du grimpeur à gérer son équilibre en fonction des appuis (pieds) et des préhensions (mains) proposés par le milieu. On l'associe également à la notion de transfert de charge.

"Point" : Vocable généralement utilisé par le grimpeur pour désigner un ancrage (cf. définition du nom ancrage).

Poulie : 1. Tech. : Élément permettant de hisser une charge en démultipliant la force appliquée (a minima, par deux) ou de la faire glisser le long d'un câble ou d'une corde (exemple : en tyrolienne). 2. Phys. :  Rapporté à l'escalade, on parle "d'effet poulie" dès que l'on applique à un point fixe tel un ancrage, deux forces égales, de directions opposées à celui-ci et s'ajoutant l'une à l'autre. C'est pourquoi, on ne fera jamais descendre un grimpeur en moulinette sur un seul point d'ancrage car la force appliquée par la masse du grimpeur s'ajouterait à la force de retenue appliquée par l'assureur autrement dit, équivalente à son propre poids et de fait, présentant un risque d'arrachement du point considéré). 3. Anat. Gaine permettant de maintenir les tendons des muscles fléchisseurs des doigts au plus près de chacune des phalanges ; ces étuis évitent l'effet de "corde d'arc" à ces tendons. Certaines formes de préhension engagent la sécurité et la santé des "poulies" (Cf. définition de "arquer" mais pas seulement ...).

Précision : Surtout dans les pieds, permettant de bien placer les appuis afin de s'économiser. La précision concerne également les préhension de mains, en particulier au cours de passages d'escalade "dynamique". Le regard participe naturellement à la précision du geste.

Prise de décision : Faculté à s'engager dans un mouvement ou un passage d'escalade tout en étant à la limite de ses possibilités physiques et mentales.

- Q -

- R -

"Réchappe" : Expression désignant l'action d'un grimpeur (implique une manipulation spécifique de corde) lui permettant de redescendre d'une voie dont il ne parvient pas à franchir la(les) dificulté(s) ou dans le cas d'un imprévu.

Réglette : Prise longitudinale plus ou moins crochetante dont l'épaisseur excède rarement la longueur de la dernière phalange.

Résistance : Capacité pour un grimpeur à tenir un effort soutenu, proche de son niveau max., sans possibilité de repos (en moyenne 15 à 40 mouvements, durée d'effort 1 à 3 minutes).

- S -

S.A.E. : Structure Artificielle d'Escalade.

"Scoubidou": Également appelé "Yoyo". C'est l'action de mousquetonner la dégaine suivante en tirant la corde sous la dégaine précédente, ayant pour effet de bloquer le grimpeur dans son ascension. Le moyen de s'en défaire est d'ôter la dégaine du dessous et de mousquetonner à nouveau la corde après l'avoir laissé coulisser normalement dans la dégaine du dessus

"Sec" : Expression utilisée par le grimpeur pour demander à son assureur de reprendre le mou de la corde jusqu'à la tendre "sèchement" afin de s'offrir un temps de repos ou se sécuriser, tant en cours d'ascension qu'au sommet d'une voie.

"Steack" : 1. Désigne une blessure : " Se faire un "Steack" ! (concerne particulièrement les blessures aux doigts). 2. Expression familière : " Envoyer du "Steack" ! "  c'est-à-dire mettre beaucoup de force dans une action.

- T -

"En Tête" : Expression courante utilisée par le grimpeur permettant d'indiquer qu'il escalade en position de "leader" en installant seul, les dégaines et la corde à mesure de son ascension. Cette forme d'escalade est celle préconisée par l'éthique afin de valider une performance individuelle et cela, quel que soit le niveau de la voie. En fonction des difficultés rencontrées, ce type d'escalade peut nécessiter un engagement complet du corps et de l'esprit.

"Tube" : Système d'assurage appartenant à la famille des dispositifs non bloquants, tel le plus connu d'entre eux, le "huit" d'assurage.

- U -

- V -

Vache (ou longe) : Élément permettant au grimpeur de se sécuriser notamment lors de la manoeuvre de haut de voie ou en cours d'ascension d'une grande voie, au moment des relais.

Visualisation : Faculté à imaginer des méthodes (solutions) pour résoudre des enchaînements de mouvements d'escalade de difficultés variables. S'associe à la "lecture" et à la "mémorisation".

"À Vue" : Expression utilisée par le grimpeur indiquant qu'il aborde l'ascension de la voie considérée pour la première fois, sans l'avoir jamais essayée ni travaillée. Du point de vue de l'éthique en escalade, grimper "à vue" est la forme d'escalade la plus juste pour valider une performance car elle fait appel à de grandes qualités de lecture et de technique afin de gérer l'effort tout au long de la voie.

"Vol" : Synonyme de chute en escalade.

- W -

"Watts" : Se dit de l'énergie laissée au cours d'un effort : " J'y ai laissé des "Watts" ! ".

- X -

- Y -

"Yoyo": Cf. définition de "Scoubidou".

- Z -

"Zipper" : Désigne l'action de glisser à l'amorce d'un mouvement ou au cours de l'escalade ... concerne autant les appuis (pieds) que les préhensions (mains)  ; "zipper" entraîne le plus souvent la chute.